Delphine Thomas et Amandine Laparlière, les cheffes d’équipe de la Protection civile de Maine-et-Loire émettent plusieurs hypothèses pour justifier le peu d’affluence :

« C’est peut-être l’effet du nouveau confinement. Les personnes qu’on a vu depuis ce matin, se sont surtout des gens qui continuent de travailler, donc d’être en contact avec des personnes. »

dépistage segré

Comme le rappelle Amandine Laparlière, « le plus important c’est de briser les chaînes de contamination ».

En se présentant à cette journée de dépistage, les personnes effectuent un test antigénique dont le résultat est connu au bout de quelques minutes.

« Si jamais le test est positif, la personne doit faire un test PCR pour déterminer s’il s’agit du variant », détaillent les cheffes d’équipes.

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